Madame,
Laissez-moi vous dire combien votre cou au-dessus duquel j'aime à me pencher , vos mains qui sans cesse s'agitent, vos petons parfois un rien terreux m'émeuvent. Et que dire de la passivité de votre lippe, de votre indolence qui me rend si sur, de votre langueur et de votre côté farce? Vos intentions amoureuses me ravissent,